Fondée en février 2014, OVA est une startup qui aide des entreprises de différents milieux à se transformer avec la réalité virtuelle et augmentée (VR/AR), et l’intelligence artificielle. En voyant les avancées fulgurantes en termes de réalité virtuelle et augmentée, Harold Dumur, président fondateur, et son équipe ont cherché un moyen de démocratiser ces nouvelles technologies. C’est cette prémisse qui a donné naissance à leur logiciel de VR/AR StellarX, un bac à sable virtuel permettant à ses utilisateurs de créer un monde où tous peuvent collaborer. Les différents outils disponibles dans StellarX offrent une grande variété de possibilités pour construire et partager des idées en trois dimensions.
« L’informatique spatiale permet la création d’expériences interactives en immersion partielle ou totale, ce qui en fait un outil extrêmement efficace et intéressant pour un large éventail d’industries. Des séances de formation aux salles de réunions, en passant par les espaces de co-création, ces nouveaux outils ouvrent la porte à une infinité de possibilités », explique M. Dumur.
Ayant obtenu un diplôme en génie industriel, Harold Dumur est avant tout un passionné de technologie en tout genre. Inspiré par les évolutions dans le domaine du jeu vidéo depuis tout petit, l’idée d’OVA a tranquillement germé dans son esprit. « Le monde de l’interactivité, du multimédia et de la 3D m’a toujours interpellé depuis que je suis jeune. J’ai cherché un moyen de démocratiser tous ses nouveaux paradigmes pour des gens non familiarisés avec ces technologies. Notre logiciel est utilisé à des fins de formation par des gens de différents milieux et de tous les âges », raconte-t-il.
OVA a rapidement cerné l’importance qu’allait prendre la formation par internet dans les années à venir. Son objectif a donc été de développer, à l’aide de la réalité virtuelle et augmentée, une façon de brainstormer, designer et travailler sur des pièces de façon virtuelle.
« On s’est demandé qu’elle est la prochaine étape dans l’évolution des médias accessibles pour tous. C’est à cette époque que la réalité virtuelle commençait à se démocratiser notamment avec le rachat par Facebook de la société Oculus. Ç’a été la bougie d’allumage pour la transition de notre entreprise encore en démarrage. »
La COVID ayant coupé les liens sociaux entre la population, le VR/AR est venue se positionner comme une solution de première ligne pour aider à rassembler les gens. OVA, comptant désormais près d’une quarantaine d’employés, a connu une forte croissance malgré le ralentissement économique de la dernière année. « Il y a eu une gigantesque accélération dans le milieu de la VR/AR. La demande a grandement augmenté et le nombre de téléchargements de StellarX aussi. Notre solution logicielle peut permettre aux travailleurs de se rassembler », croit Harold Dumur.
Avec les outils matériels et humains mis à la disposition par Zú, l’entreprise a su concrétiser son projet et améliorer sa plateforme. « Une fois chez Zú, on rentre dans le futur. Laboratoire 5G, ordinateurs de périphérie, ce ne sont pas encore des technologies très accessibles, mais elles nous aident à innover », raconte-t-il. Avec la démocratisation de la réalité virtuelle et augmentée, Harold Dumur espère aller chercher de nouveaux utilisateurs et continuer de développer le potentiel de son entreprise.