Karianne Guilbert, conceptrice-rédactrice, Standish
- Ton motto : Sometimes you win, sometimes you learn
- Comment te démarques-tu : Par mon entregent et ma spontanéité!
- Ton compte LinkedIn : Don’t be shy, ajoute-moi! Mon compte LinkedIn
- As-tu un talent caché : Le dessin, la peinture. Mon oeil d’artiste est utile à tous les jours!
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La publicité est, pour moi, un heureux mélange de mes intérêts pour les arts, la rédaction et, surtout, les gens.
J’ai étudié en sciences humaines au Cégep de Sherbrooke, où j’ai découvert une passion pour l’humain, entre mes cours d’histoire, de sociologie et de psychologie. Comment pensent les gens? Pourquoi agissent-ils ainsi? Je buvais les paroles de mes professeurs, avide de connaissances. J’étais au premier rang, les yeux toujours grands ouverts, la main souvent levée.
En quête de nouveauté (et peut-être de moi-même aussi), j’ai poursuivi les études à l’Université Laval à Québec, en Communication publique, profil publicité sociale. Je me suis immédiatement impliquée en rejoignant l’agence étudiante de l’université, Préambule. J’y ai appris le métier de conceptrice-rédactrice et les rouages des agences. Déjà, mon plan se dessinait dans ma tête. J’allais devenir conceptrice-rédactrice en agence. C’était cela ou rien du tout. Mon objectif était fixé.
Lors de ma troisième année, j’ai participé aux Jeux de la communication, que je voulais absolument tenter durant le baccalauréat. Une expérience unique au bout de laquelle j’ai réalisé un pitch devant plus de 300 personnes. Mais surtout, j’y ai appris une leçon nécessaire dans mon domaine : apprendre à accepter la critique sans broncher (message à mes camarades qui pourraient lire ceci : j’entendrai pour toujours votre voix me crier affectueusement « PRENDS LE COMMENTAIRE! »).
Et puis me voici, conceptrice-rédactrice en agence. Comme je le désirais. À proposer des idées farfelues durant les brainstorms. À créer des campagnes et à travailler avec des gens incroyables chez Standish. À aider toutes sortes d’organisations. À tenter de bien comprendre les cibles variées et à m’efforcer de parler leur langage.
J’ai encore soif d’apprendre et mon ambition est sans limites. C’est peut-être l’arrogance de la vingtaine ou c’est peut-être une intuition, mais je crois qu’il y a de belles choses qui m’attendent.