Déjà bien implantée en Europe, Axeptio, la plateforme de gestion du consentement, fait maintenant son entrée au Canada. Avec la Loi 25 et l’intérêt croissant des entreprises pour une collecte de données plus respectueuse et engageante, le moment était idéal pour l’entreprise de poser un nouveau jalon dans son expansion internationale.
Mais pénétrer un nouveau marché ne se résume pas à traduire son site ou recruter localement. C’est tout un écosystème qu’il faut comprendre, apprivoiser, puis structurer. Pour faire les choses dans les règles de l’art, Axeptio a confié l’ouverture de sa filiale canadienne à AXELR, un partenaire spécialisé dans la croissance rapide des entreprises technos au Québec et au Canada.
Le défi ? Adapter l’ensemble de l’approche au contexte canadien :
- Bâtir un modèle d’affaires viable, aligné sur les réalités nord-américaines
- Structurer l’équipe, revoir la tarification, activer les premiers clients
- Repenser le positionnement et les messages clés pour les entreprises d’ici
- Traduire les bénéfices d’un produit européen dans un langage qui résonne localement
Axelr agit comme chef d’orchestre de cette implantation, en faisant la gestion de chaque étape du déploiement pour s’assurer que la filiale canadienne d’Axeptio ne soit pas simplement un « bureau satellite », mais bien une véritable extension de la marque avec son identité propre.
Axeptio transforme la contrainte légale de la gestion des cookies en une expérience utilisateur fluide, rassurante et engageante. Fini les bandeaux intrusifs : sa solution ludique et personnalisée aide les entreprises à augmenter leurs taux d’acceptation tout en restant conformes. Exemple à l’appui : le cas de DroneXpert, au Québec, qui a enregistré une hausse de 23 % du taux d’acceptation en un mois après l’adoption d’Axeptio.
Dans un contexte où les normes européennes s’imposent et où l’incertitude plane sur les échanges avec les États-Unis, Axeptio offre aux entreprises canadiennes une solution conforme, performante et désormais bien implantée localement.
