Notre nouvelle identité qu’on vous a dévoilé la semaine dernière ne serait pas ce qu’elle est sans les talents qui ont planché très très très fort sur notre nouveau branding. On vous présente ces artisan·es (qu’on aime d’amour) en 5 fun facts. La suite, après-demain! :)
Audrey Malo, Illustratrice
Audrey Malo est une illustratrice vivant et dessinant à Montréal. Elle aime explorer les contrastes de formes, de tailles et de couleurs avec une pointe d’humour et de naïveté. Ses personnages vivent sur des platesformes flottantes ou à l’intérieur de cadres ornés, où ils prennent part à des situations domestiques banales. Son travail a été vu dans de nombreux magazines internationaux, éditoriaux, publicités, emballages et livres pour enfants.
- Tu as droit à seulement trois applis sur ton cell. Go !
Instagram, Messenger et Spotify. - Si tu ne pratiquais pas ton métier actuel, tu te recyclerais en quoi ?
J’aurais aimé travailler dans un centre d’archives ou une bibliothèque, dans une autre vie. - Tu es plus livre, série ou film ?
Film en ce moment ! - Qu’est-ce qui te passionne, qui fait que tu te lèves le matin ?
Les gens qui me connaissent savent que je suis passionnée de mon travail. Mais en plus de ça, j’ai toujours une nouvelle curiosité, un nouveau sujet que je veux investiguer. Que ce soit une habileté, un genre cinématographique ou musical, ou une série de podcast à écouter en travaillant, je suis toujours en train de nourrir quelque chose de nouveau à mon cerveau dès le moment où je me lève. - Quel a été ton plus grand défi sur ce projet de rebranding ?
Trouver un genre de composition qui fait que tous les éléments s’assemblent bien ensemble et font du sens d’une image à l’autre. Et essayer que ce soit intéressant d’illustrer des sujets corporatifs et vagues portant des termes comme « leadership » et « marketing » !
Stéphanie Lavoie, Designer graphique et directrice artistique
Stéphanie Lavoie est designer graphique et directrice artistique. Depuis 2021, elle travaille à son compte pour son propre studio de design Sens du Style. Elle crée des images de marque et des sites web qui permettent à ses clients d’augmenter leur crédibilité et leur valeur.
- Tu as droit à seulement trois applis sur ton cell. Go !
Pour m’inspirer, j’adore TikTok et Pinterest. Pour noter tout ce que j’ai dans la tête, j’ai Milanote. - Si tu ne pratiquais pas ton métier actuel, tu te recyclerais en quoi ?
Je serais sûrement inspectrice en bâtiment. J’ai un œil pour les détails qui me rendrait irréprochable. Et j’adore tout ce qui touche l’architecture et le design d’intérieur. - Une campagne dont tu aurais aimé être l’instigatrice ?
J’adore le travail de Paula Scher pour The Public Theater. Son utilisation de la typographie devient de l’illustration. C’est éclaté, c’est vivant, c’est brillant ! - Qu’est-ce qui te passionne, qui fait que tu te lèves le matin ?
J’ai une passion pour chercher l’accessoire parfait pour créer un look ou un décor unique. J’adore fouiller sur Marketplace et dans les friperies pour trouver des vêtements seconde main et des meubles vintage. - Quel a été ton plus grand défi sur ce projet de rebranding ?
C’était un projet d’ampleur avec le design de maquettes pour plus de 30 pages. Heureusement, ce projet s’est tellement bien déroulé ! Nous avions une équipe de feu qui a permis de réaliser un tout nouveau site web qui fera jaser. C’est un magnifique projet dont je suis fière d’avoir pu contribuer.
Donald Robitaille, Photographe
Donald Robitaille s’est initié à la photographie à l’adolescence en prenant son autoportrait, mais il a rapidement réalisé qu’il photographiait en réalité son jumeau identique, Ronald. Un jour, tard dans la nuit, alors qu’il lançait des roches dans l’eau, il a pris la décision de rejoindre la Défense Nationale comme photographe de combat. Un coup de tête qui s’est finalement révélé être la meilleure école selon lui. Après quelques années entourées de tanks, hélicoptères et soldats, Donald a changé sa caméra d’épaule pour se lancer dans la photographie éditoriale et de mode. Pendant huit ans, Donald a voyagé à travers le monde et il a eu la chance de collaborer entre autres avec Raphael Mazzucco, Adriana Lima, Alessandra Ambrosio et Irina Lazareanu. Depuis 2016, Donald est en étroite collaboration avec l’équipe du Grenier Magazine pour la prise de photos des couvertures éditoriales. Ce qui le pousse à avancer ; la croyance que tu n’es jamais meilleur que ta dernière photo.
- Tu as droit à seulement trois applis sur ton cell. Go !
Nasa, Reddit, Airdrop. - Si tu ne pratiquais pas ton métier actuel, tu te recyclerais en quoi ?
Astronaute, en route pour Mars. 🚀 - Tu es plus livre, série ou film ?
Je suis plus film pour la lumière et les cadrages. - Qu’est-ce qui te passionne, qui fait que tu te lèves le matin ?
Notre système solaire, le pourquoi du pourquoi, le Fermi Paradox, le vélo et la photo. - Quel a été ton plus grand défi sur ce projet de rebranding ?
C’était de préparer le pre-light sans électricité dû à la panne de courant.
Nordik Studio
David Léonard, Catherine Villeneuve et Jérémy Crévieux
Fondé en 2014, ce studio de motion design pas comme les autres collabore avec les agences, organisations et entreprises de partout au Québec. Avec l’objectif d’offrir une expérience enrichissante et unique à ses clients, le studio propose une avenue créative personnalisée pour que chaque projet soit bien pensé tant au niveau du contenant que du contenu. Collaborer avec Nordik Studio, c’est choisir de travailler avec un studio qui se soucie avant tout des êtres humains derrière chaque projet; avec humour, énergie et créativité !
- Vous avez droit à seulement trois applis sur vos cell. Go !
3 applis pour nous : Behance, Netflix, Spotify. - Si vous ne pratiquiez pas votre métier actuel, vous vous recycleriez en quoi ?
Si on ne faisait pas du motion, on ferait sûrement du jardinage. On adore les plantes ! - Êtes-vous plus livre, série ou film ?
On est beaucoup plus “Séries” ! On est de grands fans de Stranger Things, Cobra Kai, Beef et bien d’autres ! - Une campagne dont vous auriez aimé être l’instigateur·trices ?
Une campagne à laquelle on aurait aimé participer c’est Le Quanard du Québec. On aurait animé le “Qu” pour qu’il se transforme en “C”. #shotsfired - Si le Grenier était une personne connue, qui serait-elle ?
Si le Grenier était une personne connue, ce serait fort probablement Jennifer Aniston. Fait longtemps qu’elle est parmi nous ! Elle est jamais bien loin. Elle nous rappelle qu’on peut être créatif et drôle tout en étant émotif de temps en temps. Elle présente des prix dans les galas et elle a joué dans Friends.
Antonin Arsenault, Développeur web chez KORSR
Antonin est accro à la programmation. Ce qu’il consomme ? Des podcasts, des vidéos sur les dernières technologies, de la documentation, pour ne nommer que ceux-ci. Sa passion et sa soif d’apprendre l’ont amené vers la programmation : art qu’il développe de manière autodidacte depuis quelques années. Chez KORSR, il est la personne qui n’accepte pas le statu quo, cherchant toujours à améliorer les technologies en place.
- Tu as droit à seulement trois applis sur ton cell. Go !
Twitter, Facebook, Google maps (Pas envie d’étendre une grosse carte sur mon tableau de bord). - Si tu ne pratiquais pas ton métier actuel, tu te recyclerais en quoi ?
Étant cuisinier amateur et passionné de la culture japonaise, je dirais chef sushi. - Tu es plus livre, série ou film ?
Série ! - Qu’est-ce qui te passionne, qui fait que tu te lèves le matin ?
Mon travail ! Bon… il y a aussi mon enfant, mais c’est le travail qui me permet d’en profiter autant. Mon boss est le meilleur pour la conciliation travail-famille. (C’est lui qui m’a dit de dire ça…) - Quel a été ton plus grand défi sur ce projet de rebranding ?
Ce projet était le premier pour lequel j’ai dû utiliser et développer mes compétences en gestion, ce qui m’a permis d’acquérir de nouvelles compétences tout en veillant à respecter les délais de livraison et à maintenir la qualité du produit final.
Michaël Lacroix, Développeur web chez KORSR
Saviez-vous que vous pouviez faire des scripts sur MSN ? Michaël le savait, et ne se gênait pas du haut de ses 12 ans pour développer des trojans permettant de bloquer votre souris, de vous envoyer un nombre infini de « wizz », ou d’avoir accès à votre ordinateur. Armé d’un livre sur le C++, c’était pour lui le début d’une passion pour la programmation. La vie l’a toutefois amené vers une autre carrière en tant que mineur, mais l’idée de faire carrière en tant que développeur restait. Il a finalement décidé de faire le choix audacieux de retourner sur les bancs d’école et de revenir à ses premiers amours : la programmation. Il est une force en soi, et cela se ressent dans chacun des projets auxquels il touche.
- Tu as droit à seulement trois applis sur ton cell. Go !
Spotify, Crunchyroll, Kindle. - Si tu ne pratiquais pas ton métier actuel, tu te recyclerais en quoi ?
Dans le domaine des sciences ou en étudiant l’histoire ancienne, j’apprécie particulièrement de relever des défis et de résoudre des problèmes. Ces domaines stimulent mon esprit et nourrissent ma curiosité. - Tu es plus livre, série ou film ?
Étant amateur d’animé japonais, série ! - Qu’est-ce qui te passionne, qui fait que tu te lèves le matin ?
La possibilité d’explorer de nouvelles facettes de la programmation, de résoudre des problèmes complexes et de contribuer à l’amélioration constante du monde numérique grâce à mon expertise me passionne et me motive chaque matin. Ayant le meilleur emploi, il est naturel d’être enthousiaste à l’idée d’apprendre toujours davantage. - Quel a été ton plus grand défi sur ce projet de rebranding ?
Mon plus grand défi a été de me détacher de ce superbe jaune éclatant ! Je me sens comme un moustique qui est constamment attiré vers sa lumière. Plus sérieusement, le défi majeur a résidé dans l’amélioration de la structuration du travail afin d’atteindre des livrables raisonnables, tout en maîtrisant un perfectionnisme intérieur.
Jean-Pierre Vaillancourt, Fondateur de KORSR
Jean-Pierre a toujours été un entrepreneur. À 11 ans, il fonda le Club du Chevalier, qui, malgré sa mention à l’émission Claire Lamarche, ne compta que 4 membres et ne dura qu’un été… Il se releva les manches et se relança en affaires il y a de cela 15 ans, période durant laquelle il a travaillé avec plusieurs clients de renom et recueilli plusieurs prix. Il a la chance de compter le Grenier parmi ses clients depuis près de 10 ans. Son expertise technique l’a amené de la 3D au web, en passant par des projets multimédias. Toujours prêt à blaguer avec des jokes de papa, il est également connu pour être un leader d’équipe qui écoute attentivement les idées de tous. Il a l’expérience pour résoudre tous les problèmes, mais surtout, il est toujours là pour aider ses collègues.
- Qu’est-ce qu’on retrouverait dans TON brandbook ?
J’ai toujours aimé la typographie, et je trouve que c’est un élément essentiel. Le tout permet de donner du caractère, et de mettre en évidence des noms pas trop faciles à prononcer ou à retenir, comme KORSR. - Si tu ne pratiquais pas ton métier actuel, tu te recyclerais en quoi ?
Quand j’étais petit, je voulais devenir « camion de pompier ». Oui, oui… Après tout, nous sommes en 2023, alors pourquoi pas ? - Tu es plus livre, série ou film ?
Audiobook ! Je dévore les livres de développement personnel. - Qu’est-ce qui te passionne, qui fait que tu te lèves le matin ?
Mes filles ont tendance à me faire lever le matin, que je sois passionné ou pas, alors je dirais… le café et résoudre les défis technologiques ! - Quel a été ton plus grand défi sur ce projet de rebranding ?
Avez-vous déjà essayé de travailler sur une refonte visuelle pour un client daltonien ? ! ? Sur une note plus sérieuse, le plus gros défi a été de profiter de la refonte pour effectuer plusieurs changements de technologies à des endroits stratégiques. C’est nécessaire d’apporter ce genre de modifications avec les années, et ce, malgré la charge de travail supplémentaire que cela apporte. Je nous considère chanceux d’avoir un client qui nous fait confiance, qui comprend les enjeux, et qui décide de mettre la pérennité de sa plateforme en priorité.