Alors que l'effervescence de l'industrie médiatique des dernières années s'est vue considérablement freinée en 2020, l'entreprise montréalaise Eat It Up Media a décidé de contrer le ralentissement en passant en vitesse grand V.
Force est de constater qu'année après année, la quasi-totalité des budgets médias des clients nationaux se voient attribués à quelques grands joueurs de l'industrie. À l'opposé, faute d'accès à ces mêmes clients nationaux, les plus petits joueurs, eux, ne peuvent donc accéder à une part du gâteau. Ainsi, en vue d'encourager l'économie locale en ces temps de précarité financière, Eat It Up Media a tissé des partenariats avec plus de 100 entreprises médias de part et d'autre des 10 provinces canadiennes, rassemblant donc sous un même toit une offre nationale bonifiée.
Avec plus de 15 000 plateformes médias intérieures et extérieures, numériques et statiques, pour un total de 1.5 milliard d'impressions mensuelles, la portée d'Eat It Up Media atteint maintenant des sommets, selon l'entreprise. Un réseau OOH pouvant rejoindre des millions de Canadiens dans les activités de leur vie quotidienne et couvrant, au Québec, 170 villes est maintenant mis à disposition des clients de l'entreprise.
Venant s'ajouter aux divisions existantes de marketing expérientiel et de réseaux personnalisés, la nouvelle offre OOH vient consolider la présence de l'entreprise sur le marché des médias et appuyer la philosophie des fondateurs qui avance que « Chaque client est unique. Chaque campagne devrait l'être aussi. »
«Nous avons toujours eu une approche transparente vis-à-vis notre offre média et le fait qu'elle n'était pas adaptée à toutes les campagnes. Jamais nous ne poussons une idée à un client si nous ne sommes pas 100% convaincus qu'elle répond à l'objectif global», mentionne le co-propriétaire et co-fondateur de Eat It Up Media, Robert Deckelbaum. «Nous avons une vision claire de l'industrie et croyons que nous pouvons être des acteurs de changement pour ainsi diminuer les disparités financières et contribuer au succès de plus petites entreprises médiatiques. D'autre part, nous comprenons l'importance de développer des réseaux dans des régions tertiaires afin de permettre aux annonceurs nationaux de couvrir l'ensemble de la population canadienne. La pandémie nous a donc accordé le temps nécessaire pour assembler les pièces du casse-tête.»