Le Siboire Notre-Dame a officiellement ouvert ses portes le 29 février 2024, une date rare qui ne revient que tous les quatre ans. Plutôt que d’attendre 2028 pour souffler sa première bougie, l’établissement a choisi de braquer les projecteurs sur la bissextilité, une particularité qui concerne plus de 6000 Québécois·es.

Pour capter l’attention, une série de faux reportages mettant en scène Pierre Boily et sa « vie bissextile » a été publiée dans Le Journal de Montréal du 26 au 28 février. Dès le premier jour, la pleine page du JDMTL, relayée sur Facebook, a généré plus de 140 000 vues en 48 h, devenant l’une des publications les plus performantes du Siboire depuis sa création en 2007.

L’opération a suscité un engouement remarquable, autant auprès des fidèles de la brasserie que d’un public plus large. Elle a culminé le 28 février avec une soirée spéciale au Siboire Notre-Dame, où toutes les personnes nées un 29 février ont été invitées à manger et à boire gratuitement. Pour prolonger la fête, la pinte a été offerte à 2,90 $ toute la soirée.

« La soirée a été mémorable. Nous avons même reçu 5 personnes nées un 29 février qui ont mangé et bu gratuitement toute la soirée », révèle Antoine Desharnais Ducharme, co-propriétaire du Siboire Notre-Dame.

« En partant de leur date d’ouverture unique et de leur désir de faire jaser dans les nouvelles, on a voulu interpeller les gens avec une pastiche utilisant les codes classiques des dossiers du Journal de Montréal. Pierre Boily est devenu le vrai visage de ce faux problème qu’est la bissextilité », souligne Jean-Christian Bizier, auteur de la campagne.

Reflétant sa personnalité de marque, le Siboire Notre-Dame a non seulement célébré son anniversaire de manière originale, mais a aussi marqué l’imaginaire collectif en créant un événement qui restera dans les annales de l’entreprise.

Crédits

Client : Siboire Notre-Dame - Antoine Desharnais Ducharme
Création : Jean-Christian Bizier
Achat média : Code marketing - Marie Michel
Responsable marketing : Fanny Béha
Coach de vie : Alexis Pinard