Productions Optimales dévoile Le nouveau visage, une vidéo à la fois puissante et poétique, conçue comme un manifeste de marque illustrant l’évolution de l’entreprise et l’affirmation de ses valeurs.
Cette œuvre visuelle audacieuse met en scène la transformation et la quête d’excellence en établissant un parallèle entre le travail de l’artisan et celui de l’image.
Réalisé par Jean-Philippe Nadeau-Marcoux, avec la collaboration du directeur photo Stéphane Thériault et de Marc-André Leclerc, Le nouveau visage puise son inspiration dans la minutie du geste artisanal. À l’image de l’artisan qui façonne la matière, Productions Optimales sculpte l’image avec une exigence constante de perfection et de renouveau.
Sous la direction du réalisateur Jean-Philippe Nadeau-Marcoux, accompagné du directeur photo Stéphane Thériault et de Marc-André Leclerc, Le nouveau visage s’inspire du travail minutieux de l’artisan. Comme l’artisan façonne la matière, Productions Optimales façonne l’image avec une recherche constante de perfection et de renouveau.
Pour illustrer cette symbiose, l’équipe de tournage a suivi des artisans en pleine création :
- Dominic April, forgeron de l’Atelier du Vieux Corbeau, qui enseigne son art à d’anciens militaires souffrant de stress post-traumatique.
- Thierry Sterckeman, luthier spécialisé en contrebasses et contrebassiste de jazz, filmé dans son atelier Ex Fabrica à Limoilou.
- Romain Francès, horloger formé à Genève, capté dans son atelier des Cantons-de-l’Est, La Forge de Ilmarinen, manipulant des mécanismes d’une précision exceptionnelle.
Des artistes et des sportifs de haut niveau se sont également joints au projet : les escrimeurs du Club d’Escrime STH et la violoniste Marie Jobin. Chacun·e incarne la rigueur et la grâce du geste parfait.
Productions Optimales a aussi eu l’honneur de capturer une image symbolique de la transmission intergénérationnelle : Maël, un nourrisson de deux semaines, porté par sa mère Karolane Dubé-BouRard, ainsi qu’une ancienne championne de natation au parcours de vie inspirant, Hélène Jacques.
Une expérimentation visuelle et sonore
Pour illustrer la transformation de la matière, l’équipe a exploré des techniques artisanales du cinéma, s’inspirant du film Oppenheimer de Christopher Nolan : particules filmées en aquarium, étincelles jaillissant du métal, peinture en suspension dans l’eau et réactions chimiques de glace sèche.
Le comédien Steven Lee Potvin incarne l’artisan de l’image, évoluant dans une scénographie immersive où se mêlent projections, jeux d’eau, chorégraphies et fumée, renforçant l’impact visuel par des effets pratiques.
La conception sonore signée Thomas Morin joue un rôle clé dans l’expérience sensorielle de la vidéo. Chaque son, capté en prise directe, a été retravaillé en studio, tandis que des effets en foley — bruits de matière et ambiances sur mesure — plongent le spectateur au cœur de cette métamorphose visuelle et auditive.
Un making-of pour lever le voile sur le processus créatif
Pour documenter ce travail de longue haleine, le réalisateur Simon Perrier a réalisé un making-of capturant les moments clés de la production. Ce regard en coulisse met en lumière l’engagement et le talent de l’équipe, offrant au public une immersion authentique dans la genèse du projet. Le making-of couvre également la séance photo des employé·es et la création de la vidéo historique, qui font partie intégrante de la refonte complète de l’image de marque.